la normalité est une maladieDepuis tout petit, j’ai compris que j’étais différent.

Une façon de penser différente. Une façon de voir le Monde sous un angle étrange. L’habitude de penser en terme de « je peux mieux faire » et non en terme de « je vais me contenter de ça ».

J’avais l’impression que cette différence était une mauvaise chose…

Je me posais toujours la même question…

« Pourquoi tout le monde semble faire semblant d’être heureux, malgré une vie qui ne les satisfait pas, qui ne les remplit pas de bonheur. Une vie remplie de dettes, de frustration et de rêves abandonnés ? »

Je ne trouvais pas de réponse.

Petit à petit, en grandissant, j’avais compris que cette façon de penser était en réalité un don.
Quelque chose de prometteur.

La normalité est une maladie

J’ai compris que la normalité est une maladie.

Partout autour de moi, je voyais des gens se complaire dans une vie qu’ils n’avaient pas choisie. Une vie triste, banal, conformiste. Une vie faite de compromis, d’abandons et de frustrations.

Mr Toutlemonde est partout autour de toi. Il est normal, banal. Il ne sort pas du lot.
Il ne se bat pour rien dans la vie. Au fond de lui, le soir, il sait que quelque chose ne va pas. Il se contente de travailler 35 heures par semaine sans se demander s’il y a « plus » à vivre…

Il accepte tout, sans broncher, sans se rebeller. C’est la Voie de la Médiocrité.


Le chemin le plus rapide pour être frustré et malheureux toute sa vie.

Le Lundi matin, c’est toujours le même rituel. Il se réveille, encore à moitié endormi et râle. Il se traîne dans la cuisine à la recherche de la cafetière. Il pense que le lundi matin, c’est vraiment le pire moment de la semaine.

Durant la semaine, il a hâte d’être Samedi. Il ne pense qu’à ça ! Il pourra se reposer un peu et « profiter » de sa « vie ».

En réalité, il échange 5 jours d’esclavage pour 2 jours de liberté.

La vie de Mr Toutlemonde est celle d’un esclave moderne. Pensant que la seule façon de pouvoir vivre est d’obéir au salariat, et à la routine métro/boulot/dodo. Il a abandonné tout espoir, et a hâte d’avoir 65 ans… Après 40 ans de dur labeur, il pourra enfin profiter de sa vie.

À 65 ans, quand son corps sera à moitié en ruines, et qu’il aura autant de force et d’énergie qu’un escargot.

Heu… Il n’y a que moi que ça choque ?

Je ne sais pas toi, mais le chemin que la Société a prévu pour nous, n’a rien d’épanouissant.

Ça sera sans moi.

Être normal est un signe de maladie.

Être différent est une bonne chose.

Si tu sens qu’il y a un problème avec la Voie de la Médiocrité que la Société a choisi pour toi, tu es différent.

C’est un signe de bonne santé mentale.

Note : Cet article est un extrait du livre “La Voie du Guerrier Pacifique” bientôt disponible.

Le livre est disponible ici.

Sam

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